Les tuteurs et tutrices appellent à un dialogue
Pour le bien de nos étudiant-e-s, tant les quelques 12 000 assigné-e-s aux tuteurs et tutrices lors du déclenchement de la grève, sans encadrement depuis plus d’un trimestre complet, que ceux et celles n’ayant pu s’inscrire cet été en raison de la non-disponibilité des cours, sans oublier ceux qui seraient affecté-e-s par un service diminué si la TÉLUQ va de l’avant avec sa réorganisation, il est temps d’agir! La Direction a erré en mettant de côté la collégialité caractérisant les universités, mais tuteurs et tutrices, étudiant-e-s et professeur-e-s peuvent s’unir pour que la TÉLUQ retrouve sa réputation d’excellence pour favoriser la réussite d’étudiant-e-s qui n’auraient pas accès à l’enseignement supérieur si ce n’était de ce modèle unique en formation à distance.